César....
"Andy Serkis est un acteur, réalisateur et producteur britannique né le 20 avril 1964 à Ruislip, dans le Grand Londres. Maître incontesté de la performance capture, il se révèle au monde grâce à Gollum dans Le Seigneur des Anneaux (2001–2003), un rôle qui transforme durablement la façon de jouer et de filmer les personnages numériques.
Il incarne ensuite King Kong (2005), puis s’illustre dans le jeu vidéo avec des rôles marquants comme Bohan (Heavenly Sword, 2007) et Monkey (Enslaved, 2010).
Il devient aussi le Capitaine Haddock dans Les Aventures de Tintin (2011), puis César dans La Planète des Singes, rôle central de la deuxième trilogie (2011–2017).
Sa carrière s’étend ensuite à d’autres univers cultes : Snoke et Kino Loy dans Star Wars, Ulysses Klaue dans le MCU, puis Alfred Pennyworth dans The Batman (2022).
En parallèle, il passe derrière la caméra (Breathe, 2017 — Mowgli, 2018 — Venom 2, 2021) et fonde avec Jonathan Cavendish le studio The Imaginarium, laboratoire dédié aux technologies de capture de mouvement.
Il incarne ensuite King Kong (2005), puis s’illustre dans le jeu vidéo avec des rôles marquants comme Bohan (Heavenly Sword, 2007) et Monkey (Enslaved, 2010).
Il devient aussi le Capitaine Haddock dans Les Aventures de Tintin (2011), puis César dans La Planète des Singes, rôle central de la deuxième trilogie (2011–2017).
Sa carrière s’étend ensuite à d’autres univers cultes : Snoke et Kino Loy dans Star Wars, Ulysses Klaue dans le MCU, puis Alfred Pennyworth dans The Batman (2022).
En parallèle, il passe derrière la caméra (Breathe, 2017 — Mowgli, 2018 — Venom 2, 2021) et fonde avec Jonathan Cavendish le studio The Imaginarium, laboratoire dédié aux technologies de capture de mouvement.
Un artiste total.
Invisible parfois, mais jamais effacé."
Invisible parfois, mais jamais effacé."
Nous l’avons rencontré à la Star Wars Celebration à Londres en 2023, un moment fort et chargé d’émotion.
Se tenir face à celui qui, sans jamais apparaître sous son propre visage, a marqué autant de films et de générations… c’était intense, presque irréel.
Simple, disponible, souriant — Andy Serkis dégage une humanité qui contraste merveilleusement avec l’ombre ou la puissance de ses personnages.
Une poignée de secondes, quelques mots, un regard… et une mémoire gravée pour toujours.
Se tenir face à celui qui, sans jamais apparaître sous son propre visage, a marqué autant de films et de générations… c’était intense, presque irréel.
Simple, disponible, souriant — Andy Serkis dégage une humanité qui contraste merveilleusement avec l’ombre ou la puissance de ses personnages.
Une poignée de secondes, quelques mots, un regard… et une mémoire gravée pour toujours.
