UNE FRAGILITÉ QUI MARQUE L’ÉCRAN
"Meg Tilly ne se contente pas de jouer : elle absorbe la caméra.
Révélée dans les années 80, elle traverse le cinéma comme une comète calme, douce mais incandescente, capable d’un éclat discret qui frappe longtemps après.
On se souvient d’elle dans Psychose II, où elle prend place dans un héritage lourd, dangereux, mais qu’elle habite avec une innocence troublante.
Plus tard, elle bouleverse dans Agnes of God, performance d’une intensité rare qui lui vaut une nomination aux Oscars — un rôle où le mystère, la foi et la douleur humaine se mêlent avec une délicatesse déchirante.
Elle continue ensuite à tracer un parcours singulier, entre cinéma, télévision et une présence qui n’a jamais eu besoin d’éclats pour exister : elle suffit.
Révélée dans les années 80, elle traverse le cinéma comme une comète calme, douce mais incandescente, capable d’un éclat discret qui frappe longtemps après.
On se souvient d’elle dans Psychose II, où elle prend place dans un héritage lourd, dangereux, mais qu’elle habite avec une innocence troublante.
Plus tard, elle bouleverse dans Agnes of God, performance d’une intensité rare qui lui vaut une nomination aux Oscars — un rôle où le mystère, la foi et la douleur humaine se mêlent avec une délicatesse déchirante.
Elle continue ensuite à tracer un parcours singulier, entre cinéma, télévision et une présence qui n’a jamais eu besoin d’éclats pour exister : elle suffit.
Meg Tilly, c’est le murmure qui parfois vaut plus qu’un cri."
Une photo
"La collection présentée ici est sobre, minimaliste, mais essentielle :
une photo signée de sa main, unique, proche, presque intime.
Une relique qui porte en elle la douceur de son jeu, la discrétion de son aura, et l’émotion qu’elle dépose sur pellicule.
Un objet simple, mais chargé de sens — comme si l’on tenait un fragment de cinéma entre les doigts."
une photo signée de sa main, unique, proche, presque intime.
Une relique qui porte en elle la douceur de son jeu, la discrétion de son aura, et l’émotion qu’elle dépose sur pellicule.
Un objet simple, mais chargé de sens — comme si l’on tenait un fragment de cinéma entre les doigts."